Tout d’abord, après une grosse victoire contre Montauban, comment abordez-vous ce derby ?
De la même des façon que tous les autres matchs.
L’USAP semble sur courant alternatif entre les matchs à domicile et les matchs à l’extérieur. Comment expliquez-vous cela ?
Aujourd’hui en voyant ce que nous sommes capables de faire à domicile, je n’ai pas la réponse. Mais pour pouvoir espérer faire les phases finales, il faudra s’imposer au moins deux fois à l’extérieur. On a pas le choix.
Ce week-end, il y a pas mal de matchs à enjeux pour les demis. Selon le résultat de samedi, ce match contre Béziers peut-il être un match charnière dans votre saison ?
Disons que si nous faisons un résultat à Béziers, nous pourrions préparer au mieux et avec plus de sérénité les prochains matchs. Dans le cas contraire, il existera un peu plus de pression.
Il y a 10 ans, vous jouiez déjà un Béziers-USAP, à Aimé Giral cette fois. Quel souvenir gardez-vous de ce match ?
Ah oui c’est loin tout ça… Oui je me rappelle de ce match. Il y avait énormément de vent, ce fut un match très engagé. Il me semble que nous nous étions imposé de peu. (victoire 33-24 de l’USAP le 13/11/2004)
Qu’est-ce qui, selon vous, à évoluer depuis 10 ans sur l’approche d’un derby comme celui-ci ?
Pas grand chose, un derby reste un derby. Après, c’est sur que le rugby a évolué mais comme je vous dit, nous abordons ce match de la même façon que les autres en espérant ramener des points de celui là.
Maxime GIL
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